Glisseguna, c'est la journée de la glisse organisée par Seaska (la fédération des ikastola) et les ikastola d'Anglet et de Boucau qui aura lieu le dimanche 29 septembre 2024 autour du skate park de la Barre (Anglet).
Le but est triple:
1/ promouvoir auprès du plus grand nombre les sports de glisse que l'on croit à tort exclusivement réservés à certains privilégiés de la Côte
2/ sortir la langue basque (euskara) des carcans où l’on a tendance à l’enfermer en l'associant à l'image dynamique de la glisse,
3/ rendre hommage à la diversité culturelle en Pays Basque et mettre en avant la richesse des cultures : hip hop, danses, musiques !
L’idée est née il y a plus de 20 ans maintenant, suite à une enquête menée auprès des jeunes de 13-17 ans concernant leur relation à l’euskara et une réflexion engagée au sein de Seaska concernant le développement des ikastola. Les résultats de l’enquête ont révélé que les jeunes étaient attachés affectivement à la langue basque mais qu’ils en avaient une vision un peu désuète ; c’était pour eux une langue rurale, la langue de leurs grands-parents. Dès lors, comment imaginer que des jeunes qui ne vivent pas l’euskara comme une langue de leur époque et de leur environnement puissent un jour avoir le désir de la transmettre à leurs propres enfants ? C’est donc une préoccupation liée à son développement à long terme qui a incité Seaska à proposer aux jeunes (et moins jeunes !) une rencontre avec l’euskara dans un univers urbain et dynamique, après que cette langue a traversé les millénaires…
1/ promouvoir auprès du plus grand nombre les sports de glisse que l'on croit à tort exclusivement réservés à certains privilégiés de la Côte
2/ sortir la langue basque (euskara) des carcans où l’on a tendance à l’enfermer en l'associant à l'image dynamique de la glisse,
3/ rendre hommage à la diversité culturelle en Pays Basque et mettre en avant la richesse des cultures : hip hop, danses, musiques !
L’idée est née il y a plus de 20 ans maintenant, suite à une enquête menée auprès des jeunes de 13-17 ans concernant leur relation à l’euskara et une réflexion engagée au sein de Seaska concernant le développement des ikastola. Les résultats de l’enquête ont révélé que les jeunes étaient attachés affectivement à la langue basque mais qu’ils en avaient une vision un peu désuète ; c’était pour eux une langue rurale, la langue de leurs grands-parents. Dès lors, comment imaginer que des jeunes qui ne vivent pas l’euskara comme une langue de leur époque et de leur environnement puissent un jour avoir le désir de la transmettre à leurs propres enfants ? C’est donc une préoccupation liée à son développement à long terme qui a incité Seaska à proposer aux jeunes (et moins jeunes !) une rencontre avec l’euskara dans un univers urbain et dynamique, après que cette langue a traversé les millénaires…
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